Le bonheur au travail et la productivité sont étroitement liés. Une récente enquête internationale réalisée par le bureau d’études Mintel révèle que les interactions sociales sur le lieu de travail augmentent non seulement la satisfaction des employés, mais renforcent également la dynamique d’équipe, améliorent la collaboration et boostent les performances.
L’alimentation : un catalyseur de connexion
Manger et boire ne se limitent pas à des besoins fonctionnels : ce sont aussi de puissants leviers de connexion sur le lieu de travail. Partager un repas ou prendre une pause café contribue à améliorer non seulement l’ambiance, mais également la productivité et le bien-être des employés.
Selon l’étude, 75 % des employés estiment que partager un repas renforce les relations professionnelles. Les pauses, qui durent en moyenne 35 minutes, offrent des moments cruciaux pour des échanges informels. De plus, 69 % des employés considèrent ces moments d’interaction comme essentiels à la productivité de l’équipe.
Travailler au bureau, plus agréable grâce aux amitiés qui se tissent
À l’ère du travail hybride, 65 % des employés ayant noué des amitiés au travail se réjouissent davantage des journées passées au bureau. Partager un lunch ensemble ou organiser des pauses informelles stimule les relations sociales et amicales au travail, jouant un rôle clé dans la satisfaction et la fidélité des employés.
D'ailleurs, parmi ceux qui échangent spontanément avec leurs collègues, 62 % déclarent se sentir connectés à leur équipe, contre seulement 22 % pour ceux qui ne participent pas à ces moments privilégiés.
Les jeunes générations et leur besoin accru d’interactions informelles
Pour les membres de la génération Z et des Millennials, les interactions sociales au travail occupent une place encore plus essentielle. 42 % des employés appartenant à ces générations souhaitent davantage échanger avec leurs collègues, notamment lors des pauses ou des déjeuners au bureau.
Une étude mondiale réalisée par Mintel
Pour le compte de Compass Group, le bureau d’études Mintel a mené une enquête auprès de 30 000 employés et étudiants répartis dans 21 pays, dont 1 000 répondants en Belgique. Les pourcentages mentionnés dans ce communiqué sont issus des résultats belges.